mercredi, 14 novembre 2012 13:09

Edito - 14 novembre 2012

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Sans titre...

Ô le doux mélange... je viens de visionner un excellent documentaire de la BBC qui me parle de tous les produits chimiques qui se baladent dans (et à) mon corps défendant, qui bousillent mes neurones, mes hormones, qui jouent avec mes équilibres divers en la matière... et le premier film que je voudrais présenter, Sâdhu, parle d'un Saint Homme, en recherche d'ascèse et de vérité, qui a vécu huit ans dans une grotte et qui cherche toujours un sens à sa vie. J'allais titrer mon édito "Planète schizophrène" pour montrer que notre mère la terre a bien plusieurs personnalités... et Tata Wicky me dit que cela n'a rien à voir. La schizophrénie largement utilisée à tort et à travers, dans le cinéma entre autres, pour l'expliquer, n'est pas du tout synonyme de personnalités multiples. A suivre...

Pour ne pas vous retrouver démuni face à certains termes utilisés dans le film Looper (vendredi soir), voici un petit lexique pour briller en société : en premier lieu, un Looper est un tueur de seconde zone qui travaille pour la mafia du futur. Ses victimes sont envoyées à son époque et il est chargé de se débarrasser de leur cadavre. On croisera également des personnages appelés les portes-flingues ; ce sont des gangsters beaucoup mieux entraînés et chevronnés. Ils détestent les Loopers qu'ils considèrent comme des incompétents. On entendra ensuite parler de Métapsychiques. En 2040, environ 15% de la population a développé des facultés métapsychiques. Il ne s'agit pas d'un réel pouvoir mais plutôt d'un don banal et peu utile, qui sert surtout à frimer. Enfin, les Loopers utilisent une arme spéciale pour tuer leurs victimes ; cette arme, appelée mousqueton, s'avère pratique pour des tueurs peu doués comme les Loopers car elle permet de tuer une cible facilement à une distance de seulement quelques mètres. Intéressant non ?

Dans un registre un peu différent, mais toujours sur le thème de la bagarre, nous aurons le plaisir d'en prendre plein les yeux et les oreilles avec Les Troyens dimanche matin. Mon inculture est grande dans le domaine de l'opéra; je suis donc allée voir de quoi il s'agissait. Les premières lignes annoncent la couleur. Cassandre attend... on nous apprend que d'une part elle est dotée du don de prophétie et que d'autre part elle subit la malédiction de ne jamais être crue... ça me rappelle quelque chose, mais quoi ?

Ne manquez surtout pas la Soirée Espagnole de dimanche (18) soir! Lecture de poésie, chants espagnols, buffet qui ne pourra qu'être extraordinaire (on sera encore sur les photos n'est-ce pas Adeline?) et le film Amador en coup de coeur. Je ne vous en dis pas plus, ce film est un nouveau petit bijou !

Le week-end suivant, après la deuxième partie des Révélation de Twilight, Nous aurons droit à une autre pépite cinématographique: Les recommandations de Monsieur Kuka, une petite merveille du genre, qui redonne du sens au rire... et qui sera suivi par Courage, un film dramatique aux remises en question nombreuses. Le dimanche 25, aura lieu une soirée Femmes dans le Monde avec un repas proposé par le Zonta Club. Il sera suivi du film Forbidden voices (Voix interdites) et parlera encore une fois de courage mais dans un autre domaine cette fois. Et Novembre se terminera en beauté avec Frankenweenie, de notre cinéaste préféré Tim Burton... J'ai eu beau dévorer le casting, je n'y ai pas trouvé sa blonde, la magnifique Elena Bonham-Carter. Un bébé pour Noël ? Quoi qu'il en soit, le film sera fantastique et tout à fait digne de Mary Shelley d'après le peu que j'en ai vu. Pour The end of time, il faudra nous contenter du seul synopsis de Vincent Adatte. Mais tout y est dit ! Mesdames, ne venez pas seules, ce film va, à coup sûr, passionner vos maris, vos amants et tous ceux qui aimeraient l'être !
Un plan parfait que ce film éponyme... à savourer avant le brunch au Jeudi 12 (réservez, c'est plus sûr!), j'ai comme l'impression que la belle Diane Kruger n'est pas la seule à subir une "maléditionne"...

Bon Films!
Christina

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